50% des entreprises interrogées se déclarent incapables de faire fonctionner en télétravail leur comptabilité fournisseurs et 40% de respecter les délais de paiement…
Et pourtant seules 18% dématérialisent et automatisent ce processus !
Pourquoi ?
La DFCG, Mazars et Yooz révèlent
les enseignements majeurs
du premier baromètre mondial.
1 -Les défis d’un monde en crise : cybersécurité, maîtrise des processus, transformation digitale.
2 -1 département compta-finance sur 5 automatise : Pourquoi ? Quel est l'état des lieux ?
3 -Attentes et vision des décideurs : les solutions technologiques.
Créée en 1964 par des dirigeants financiers d’entreprise, la DFCG est une association au service de l’ensemble de ses membres ! Avec pour mission essentielle : le développement professionnel et personnel en proposant un espace d’échanges et de partages de bonnes pratiques tant au niveau national qu’international.
Échange et proximité grâce à un ancrage territorial fort :
Forte de ses 15 groupes régionaux, la DFCG rassemble plus de 3000 dirigeants financiers représentant quelque 1800 grandes entreprises, ETI, PME, TPE, et ce sur l’ensemble du territoire.
Avec l'avis d'expert de Mazars
Mazars est un cabinet international et intégré spécialisé dans l’audit, la fiscalité et le conseil, ainsi que dans les services comptables et juridiques*. Présents dans plus de 90 pays et territoires, nous nous appuyons sur l’expertise de nos 40 400 professionnels – 24 400 au sein de notre partnership intégré et 16 000 au sein de « Mazars North America Alliance » – pour accompagner les entreprises de toutes tailles à chaque étape de leur développement.
Avant la crise sanitaire, les entreprises devaient à la fois s’adapter aux évolutions de leur environnement, et suivre le mouvement de la transformation digitale, tout en maintenant la productivité de leurs collaborateurs. Dans un monde en crise, ces trois défis s’intensifient, et sont complétés par des problématiques internes : fluidifier et optimiser les processus financiers et renforcer la cybersécurité.
L’automatisation de la comptabilité fournisseurs conserve encore des marges de progression significatives : seulement 18 % des entreprises ont automatisé leurs processus. Pourquoi ? Trois justifications émergent : la complexité des processus, la multiplicité des canaux et le bouleversement des méthodes de travail existantes.
Les entreprises envisagent d’accélérer leurs investissements technologiques. En tête des besoins : la cybersécurité pour mieux protéger les informations comptables et financières sensibles, le cloud, l’intelligence artificielle appliquée et l’analytique.
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